La psychogénéalogie (née dans les années 70 et attribuée à Anne Ancelin Schützenberger ainsi qu’à Alejandro Jodorowski) vise à définir les liens entre les générations grâce aux corrélations de prénoms et de dates (de naissance, mariage, décès…), au syndrome anniversaire, par les répétitions mais également par la transmission de traumatismes.

Cet outil thérapeutique permet de répondre au « Qui suis-je ? » et de se réapproprier son histoire personnelle en cherchant à comprendre les enjeux familiaux sur 4 à 5 générations (secrets, non-dits, trauma, deuils…) afin de s’inscrire pleinement à sa place dans sa lignée. Le but étant d’arriver à reconnaître que « tout cela fait partie de moi mais n’est pas moi » !
C’est aussi tout le travail de donner du sens en étudiant la psyché de l’arbre et donc de l’inconscient de l’arbre.

Cette discipline part du postulat que nous naissons dans une transmission de l’inconscient familial hérité de plusieurs générations qui pèse tout autant que l’héritage génétique : c’est ce que nous appelons l’épigénétique.

Mettre en évidence par exemple une pathologie dont on est porteur à tel âge pourra nous mettre sur la piste d’une histoire vécue par un grand-parent ou arrière-grand-parent au même âge et nous inciter à décortiquer la ligne de vie de cet ascendant pour en comprendre les enjeux de répétition et stopper le schéma répétitif.
Dans cette approche, le décryptage de l’inconscient qui nous parle est précieux : rêves, cauchemars, actes manqués, synchronicités, ce qui transparaît lors du dessin de l’arbre…

Partir à la recherche de votre histoire, femme ou homme, est une expérience extrêmement instructive que je ne peux que vous recommander afin de vous reconnecter à vos origines et votre potentiel de vie et d’amour !